L’augmentation de la fiscalité n’entame en rien le fait que l’assurance-vie demeure un placement de choix.
Malgré des rendements en diminution,l’assurance-vie constitue toujours un placement de choix surtout si l’on considère ses avantages en cas de succession.
En effet, une personne ayant souscrite à une assurance-vie peut ainsi se constituer une épargne en vue de la transmettre sans droits de de succession à hauteur de 152500 €. Au-delà, il faudra ajouter un prélèvement forfaitaire de 20%. Il n’en demeure pas moins qu’en cas de montant très élevé par rapport au patrimoine, les héritiers ont la possibilité de demander l’intégration de l’assurance-vie dans la succession.